mardi 17 août 2010

Où les Turbulentes font encore des leurs.


La côte ouest fit enfin  à nos Turbulentes l'accueil qu'elles méritaient.








Elles arrivèrent à Los Angeles en terrain conquis. Mais après avoir vainement cherché leur nom parmi les étoiles du célèbre Hollywood Bd, Victoire et Salomé, furieuses, se résignèrent pourtant à poser devant le patronyme du seul véritable génie des lieux. 








Le soir venu, dans les bars de Malibu, elles se consolèrent à grandes louches de Margarita. Complètement A moitié saoules, il leur prit alors la lubie de gouter à l'Océan Pacifique.
 Nues, cela va de soi. 
Elles apprécièrent finalement leur anonymat quand elles ne purent remettre la main sur les vêtements qu'elles avaient semés le long du rivage.





Et bien sûr aucune photo pour immortaliser ce moment unique. Mais on vous laisse imaginer deux vers luisants deux naïades ruisselantes sortir de l'eau en slip kangourou troué pour l'une et le cul nu couleur d'endive pour l'autre (les laveries se faisant rares et les machines complexes, il faut savoir improviser).








Par chance, l'étape suivante leur permit aisément de se réchauffer  : San Francisco et son climat tropical.








Revigorées, nos baroudeuses n'avaient plus que quelques 10 000 km à parcourir dans le grand Far West, sur les traces de Calamity Jane et Laura Ingalls. Une broutille pour nos apprenties trappeuses. 



A suivre...




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dimanche 8 août 2010

Où l'on suit les galères des Turbulentes.


Les Turbulentes passent des vacances de rêve à l'autre bout du monde, certes.
Après New-York, Washington et Miami, les voici arrivées à La Nouvelle-Orléans.
Mais si la Louisiane, c'est le blues et Tom Sawyer, c'est aussi :

 L'accueil chaleureux dans la baignoire d'un hôtel miteux ;



Les matelas accueillants, voire très accueillants, au point de s'adapter totalement à vous, et à la forme de vos fesses ;




Et des soirées entre amis, en plein air, aux conséquences inespérées.

(cliché réalisé sans trucage)

Puis, vint le tour de la voiture qui ne répondit plus aux 12h de route quotidiennes.
Que voulez-vous, tout le monde n'a pas l'énergie de suivre le rythme effréné de nos héroïnes.


Cela posa tout de même quelques petits problèmes lorsque les spartiates,
 pourtant achetées à prix d'or sur un trottoir du 5ème arrondissement un dimanche midi à un vendeur qui assurait avec ferveur la solidité de son produit, rendirent, elles aussi, l'âme.


Mais, heureusement, nos Turbulentes, philosophes, conservent un optimisme à toute épreuve.
Non, les Américains ne réussiraient pas à leur gâcher leurs vacances.
Elles s'en sont fait un point d'honneur.

 



Après toutes ces péripéties, nos deux aventurières comptent bien s'offrir du bon temps sur les plages de sable blanc de la côte ouest.

A suivre...





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